Ce monde est révolu. Depuis le déchaînement de la Légion tout les peuple ont perdu beaucoup et pour rien. Nous nous battons depuis que nous nous connaissons. Cela est vain mais inévitable. De tout temps les peuples qui n'arrivaient pas à s'accepter s'entre-tuèrent. Pourquoi ce monde existe-t-il? Pourquoi le destin nous fait nous rencontrer? Pourquoi nous condamne-t-il à ce triste sort? Je ne le savais pas, je ne le sais pas, je ne le saurais jamais. Triste sort qu'est le notre mortels qui foulons cette terre pour mieux nous voir dépérir. Ce qui est sur c'est que le destin, le but de toute choses c'est la fin. Nous connaissons un début pour connaître une fin, tout comme ce monde qui semble ce rapprocher de cette fin à grand pas.
Chapitre 1 : Jeunesse…
Au grand désespoir de mes parents je naquis, un jour d'automne, chétif, faiblard et presque sans vie. Mon père n'était pas un Tauren hors du communs juste un simple paysan du non de Sabot de bois en honneur à ses qualités de maçon. Ma mère n'était ni une superbe Taurenne aux cheveux de soie a la crinière de jade juste une bonne mère au foyer qui débordait d'amour pour son marie qui le lui rendait. Couple banal ils partageaient un amour fort l'un envers l'autre qu'aucune difficultés de la vie n'avait jusqu'alors troublé. Mais pour eux ma naissance était très importante j'étais leur premier fils et j'étais destiné à payer la dette de sang au chaman. Au début de la guerre quand les Taurens ont pris part aux combats chaque village devait fournir un nombre de guerrier précis en fonction de ses nouveaux nés. Durant l'année sur les plusieurs naissance prometteuses plus de la moitié débouchèrent sur des fausses couches ou des enfants mort né. La corruption nous touchée encore durement. Pour respecter les engagements du chaman ma mère portait en elle le dernier espoir du village et fût assistée de toutes les personnes capable d'aider pour me mettre au monde. Pendant la journée ma mère commença son travail et surmonta cette douloureuse épreuve grâce à l'aide du chaman et de ses soins. Après des heures de combats ma mère mis au monde un bébé Tauren fragile, chétif, souffreteux, et très maigre. Grand fût le soulagement du village, je n’étais pas en forme mais vivant et cela leur permettait de ne pas craindre le déshonneur envers les autres villages pour ne pas avoir aidé comme tout les autres. Ma mère avant de s'évanouir supplia le chaman de choisir mon nom et celui ci déclara dans une vielle langue de notre clan: « Zorender, en hommage à son sacrifice et à sa valeur ... ». Les premières années de ma vie furent pour moi les plus durs étant moyen en classes ainsi qu'aux activités physiques en tout genre je n’étais pas mauvais mais loin d'être bon. Ma mère croyait en moi et mon père ne tarissait pas d'encouragement pour me remonter le moral après chaque échec. Je tins bon grâce à leur amour et leur aide.
Lors du solstice d’été, le premier événement majeur qui bouleversa ma vie fut vers l'âge de dixième cycle, quand le chaman organisa un tournoi pour jauger la valeur de ses recrues et établir le grade de chacun. Nous ne nous étions jamais réellement battus sérieusement entre nous mais nous savions qui était le meilleur. Le chef de notre bande le fils du chaman qui révéla très tôt des dons hors-normes pour toute les activités qu'on lui proposé, magie, intelligence, esprit, force, endurance il avait tout pour lui, jaloux de lui comme de tout les autres nous soupçonnions son père de l'avoir avantager dés la naissance mais cela n'était sûrement que jalousie d'enfant car il nous traitait tous en égal et en plus de toute ces qualités Ios le fils du chaman était en plus modeste et aimable avec tous. Je l'enviais chaque jour de le voir accomplir des prouesses alors que je ne faisais que ramassait bleus et ecchymoses alors que lui brillait comme un ange.
Nous savions tous qui remporterai le tournoi mais en même temps nous voulions tous l'affronter pour estimer notre propre valeur. Pour mon plus grand malheur et plaisir je le rencontrais en premier, une camarade à moi me souhaita bonne chance Ellio qui m'avait toujours soutenu. J'entrais dans l'espace définissant la zone de combat et remarqua alors que tout le village était là ainsi que mes parents qui me criaient des encouragements. Je fis un petit signe discret dans leur direction et porta mon regard sur mon adversaire. Enlevant sa chemise et dévoilant sa superbe musculature je fus la cible de quelques moqueries lorsque je fis de même dévoilant mon corps qui paraissait presque inexistant face à la montagne de musque d’Ios. Il me fit un grand sourire et déclara; « Quel magnifique temps pour faire bouger ses muscles Zorender! ». Je répondis d'une voie inaudible: « Pour toi peut-être. ».
Et soudain le gong retentissant ouvrant le début de combat, sans prévenir vif comme l'éclair il bondit sur moi avec force, vitesse et précision, me terrassant en quelques instants quel ne fus pas ma surprise en sentant le choc de mon dos contre le sol dur de la plaine! Réagissant assez vite je lui décrochai un uppercut dans la mâchoire avec la force nécessaire pour vous casser une chaise en deux, il recula à peine sonné et me fit un grand sourire tout en déclarant: « Incroyable il se défend le bougre! C'est une agréable surprise que voila! ». Reprenant mes esprits je me rendis compte qu'il me faisait un compliment! Quel chance j'avais là être reconnu par le meilleur d'entre nous cela me redonna courage et je lui répondis en souriant: « Ben tu ne pensais quand même pas gagner si facilement ! »
Et il chargea à nouveau mais je l'avais vu venir j'esquivai sur la droite et tentai de le déséquilibrer, peine perdu il avait déjà pris ses distances et me jaugé pour trouver la faille dans ma garde. Il devait déjà l'avoir trouvé car il fonça sur moi et me décocha un coup dans le plexus solaire qui me fit voler, pour finalement atterrir face contre terre sonner. Soudain dans mon dos une douleur atroce Ios venait simplement de me gratifier d'un coup de sabots dans le dos pour me clouer au sol.
Le chaman intervint alors pour nous départager. En fait il retint surtout son fils de me décocher encore quelques coups et après un rapide soin magique me fit sortir de l'arène pour laisser place au combat suivant. Ios vint me voir juste après pour me féliciter car je m’étais bien battu en m'avouant que mon premier coup lui faisait encore mal à la mâchoire! Puis il dirigea son regard triste sur son père qui se chargeait des deux nouveaux combattants je me rendis compte alors qu'en fait toutes ces qualité n'étaient rien car il lui manqué le plus important, des parents. Sa mère morte peu après sa naissance et un père qui ne pouvait lui témoigné trop de chaleur pour ne pas paraître l'avantager par rapport aux autres élèves. Moi j'avais mes parents qui m'avaient toujours soutenu et je ne pouvais comprendre sa douleur et sa tristesse. Je lui dis que j'étais désolé pour lui et il me sonda de son regard profond en me disant que ce n'était rien.
Je l'aimais, j'aimais Ios comme un frère, comme un ami, comme on aime son âme soeur, et je ferais tout mon possible pour l'épauler du mieux que je pourrais. Courageux et fier il releva la tête et attendis son prochain combat. Il les remporta tous avec toujours plus de talents, et finalement j'arrivai à ravir la seconde place. A partir de ce jours nous étions sous les ordres directs d'Ios il nous dirigeait avec justice et poigne sans avantage ni relâchement. Partant plusieurs jours dans les jungles des Tarides pour nous entraîner, nous nous entraînèrent beaucoup pendant dix cycles. Aux nombres de Nous grandîmes tous et douze nous atteignirent finalement l'âge de vingt ans sans qu'aucun de nous ne se retrouve à la traîne, tous fier de notre nouveau statut nous fûmes enfin appelé à rejoindre le rassemblement de Taurens qui partait vers les terres des orques sous le commandement d'un général dont je ne retins jamais le nom tellement ce Tauren était antipathique et arrogant.
Dés l'aube notre régiment de guerrier se mit en marche vers une destination inconnu mais nous allions le découvrir assez tôt. Ios fit serment de tous nous protéger et de nous mener à la victoire nous rassurant à la veille d'une grande bataille et nous revigorant de ses paroles. Ce matin là c'est moi Zorender qui me leva le premier, un bon signe je commençais à comprendre comment contrôler mes nuits sans faire de cauchemars qui vous vident de vos forces. Nous étions confiants prêts à tout et à notre tête l'amie d'enfance que nous vénérions tous. Quand le général fit passer son ordre de combat à Ios, notre sergent de ce moment, nous étions excités et l'adrénaline commencer à nous gorger de vigueur et de force. Ios lut la note et déclara à notre groupe que nous serions en première ligne aux côtés de nos nouveaux frères d'armes, et je découvris quand nous prîmes position sur l'aile droite que nos frères d'armes semblaient aussi âgés que nous....
Chapitre 2: Première Bataille...
Nous ne pensions pas connaître le combat si tôt et avec tant de violence, nous venions à peine de faire halte à la position qui venait de nous être assigné que le sol commença à trembler. On aurait dit qu'un géant chargeait sur nous provoquant ce cataclysme. Le sol tremblait de plus en plus tandis que nous avions de plus en plus de mal à tenir debout. La terre elle même semblait souffrir face au déchaînement des éléments, les vents soufflaient d'une force incroyable, une pluie de cendres tournoyait dans le ciel... Soudain le monde fut déchiré en deux, un éclair monstrueux venait de trouer la voûte céleste et scinder ce monde. Soudain nous les vîmes, les maudits centaures, c’est chiens des abysses, c'est ainsi que notre groupe les nomma par la suite, un chaos total et inévitable semblait déferler des enfers et se diriger vers nous tel un monstre sentant sa proie. Notre bataillon n'était composé que d'une centaine de Taurens, mais nos adversaires pareils à une vague déferlante semblaient infinis.
Puis ce fut le chaos ils étaient sur nous et le combat faisait déjà rage en quelques instant la charge de ces maudites créatures venait de percer nos rang aussi facilement qu'une avalanche englouti les arbres et les plie. Le chaos régnait partout, là ou je posais mon regard seul le combat et la haine régnaient. Dans ce chaos total Ios surplombant plusieurs ennemis terrassés, faisant tournoyer son épée au dessus de lui et défiait cette marée de l'abattre. Je venais à peine d'en abattre deux qu’Ios en avait massacré impitoyablement le triple. Tout en combattant je regardais mes frères d'armes ce battre et j'étais fier d'être à leurs côtés. Sans crier gare un de ces monstre me plaqua au sol avec violence, m'ayant pris en traître et pesant de tout son poids pour m'immobiliser. Un autre bondit sur moi et entrepris de m'arracher la tête en tirant ma corne sur laquelle il venait de refermer ses mains écailleuse et terrifiantes.
Ios plus vif que l'éclair tranchant net ma corne et le monstre déstabilisé trébucha et Ios le décapita sur place. Dans un sursaut de volonté je réussi à mettre au sol le monstre qui me plaquait au implacablement sur la terre et lui décocha un coup de poing qui lui broya la mâchoire net dans une bouilli de sang et de dents broyées. Saisissant l'épée que me tendait Ios je repris le combat avec mes camarades. Beaucoup d'entre nous moururent mais la marée ne semblait pas vouloir s'arrêter, puis soudain... Nous étions à l'arrière de l'ennemi, plus précisément ce flots ininterrompu de bêtes infernal, continuait sa route dans la même direction laissant peu de survivants parmi nous tous. Sur les douze de notre groupe six perdirent la vie dans cet affrontement.
Fael de sons surnom sabot-pur il était en quelques sortes le comique de notre groupe, toujours le mot pour rire et pour réconforter. Soyal que l'on surnommait sabot-en-rut, c'était le plus timide de nous tous et nous le taquinions avec gentillesse car il était fou amoureux de Mylin, cette dernière pleurait toute les larmes de son corps devant le corps de notre amis. Miyo toujours la pour m'aider, pour me soutenir, c'est drôle comme on remarque ses erreurs quand on ne peu plus rien y changer. J'étais aveugle, la passion que je vouais à Ios m'avait empêché de voir qu'elle m'aimait mais je ne m'en suis rendu compte que trop tard. Grallos, Meillen, Kromas périrent de leurs blessures, les chamans étant les cibles de centaures aucun ne survécu.
Sentant la colère bouillir dans mon âme je préférai m'éclipser pour pleurer mes camarades et hurler ma rage au monde... La haine m'envahissait et je prenais plaisir à la laisser prendre le contrôle de tout, plus de douleur plus de souffrance plus de besoin, de fatigue, seul la vengeance pour but principal qui rendait tout le reste obsolète... Fou de rage et de chagrin j'entrepris de brûler les cadavres de nos ennemis et d'enterrer les corps de tous nos frères tombés à la bataille. Pendant tout un jour nous avons pensez les malades et les blésés, enterré dignement les morts et prié pour le repos de leur âme. Le deuxième après la bataille se lever enfin et nous firent le bilan catastrophique de notre situation, sur plus d'une centaine de valeureux guerriers seul trente-six avaient survécu, dont une bonne douzaine invalides ou trop mal en point pour repartir. En moins d'une heure notre valeureux groupe s'était vu amputé de bon nombre de protecteur de notre terre nature.
Ios pris alors le commandement et nous le suivirent sans broncher, les autres obéirent aveuglément à ces ordres devant son charisme et son combat qui leur avait paru extraordinaire, le commandant étant mort nous nous en remirent tous à Ios qui pris la décision de poursuivre ces bêtes, laissant les douze d'entre nous incapable de voyager sur place avec nos vivres nous levèrent le camp sur le moment et prirent la direction du flot de monstres qui nous avait si durement atteint.
Sans mot dire nous reprenions la route inverse qui nous le savions tous mené vers nos villages respectifs à tous... Bouillant de rage j'en oubliai la faim la soif et pris la route accompagné de nos frères à la poursuite de ces monstres pour lesquelles ma rage ne cessait d'alimenter mon corps d'énergie, chaque parties, muscles, fibres de mon corps réclamaient vengeance et je comptais bien leur obéir... Chapitre 3: Haine dévastatrice...
Pendant des jours nous avons marché suivant les traces des monstres et traversant des village mis à sac et détruit. Nous enterrions les morts et cherchions des survivants si bien qu’au troisième village une quarantaine de nouvelles recrues avaient rejoint notre rang. Fermiers, menuisiers, paysans, peu de guerrier mais des frères de sang avide de vengeance pour leurs femmes et enfants. Ios avait pris une sage décision car on ne pouvait laisser tout ces gens mourir seul. De plus chaque membre de notre groupe était anxieux car nous savions que la direction prise par ces monstres conduisait directement à notre propre village. L'estomac noué par la peur et l'anxiété nous atteignirent enfin en vue de notre village. Des décombres seul quelques fumées noires semblaient être vouloir parfaire l'illusion de ce massacre. Pas de corps ni d'objets quelconques juste des ruines fumantes. Sans la fumée on aurait peu croire que nous étions dans un village que les occupants avaient fui emportant tout. Au loin des hurlements qui nous firent tous frissonner de peur et de dégoût. Ios se rua dans les restes de sa propre maison alors que chacun de notre groupe faisait de même, seul je restais immobile sachant parfaitement ce que je trouverais chez moi et n'ayant pas la force de le supporter. Mes parents venez de mourir je le savais et je n'y pouvais rien. Je prononçai dans un murmure inaudible pour mes compagnons: « Que la vie est fragile. ». Pleurant à chaude larme je me mis à hurler... Un cri profond et triste empli de frustration devant notre faiblesse et cette injustice. Un des Taurens qui nous avez rejoint me tapota le dos gentiment pour me ramener à la réalité et me communiquer sa sympathie. Lui aussi comme tous les autres avaient perdu un être cher mais il avançait toujours. Pour quel raison ce Tauren qui n'était même pas un guerrier supporter ce lourd fardeau? Ce fut ma haine qui me répondit, dans mon esprit j'entendis sa voie pour la première fois elle murmurait: « Vengeance... ».
Cette colère était un être de haine voué à la vengeance et il m'emportant dans un monde sans souffrance ou la haine vous faisait perdre toute notion de temps et de peur, cette haine vous emplissait de sa puissance dans ce maelström de sensations destructrices. Le monde devenu noir et trouble à mon œil me permettait de retirer mes chaînes et de me sentir libre. Libre de me venger, libre de haïr, libre de me laisser aller à cette sensation grisante de haine qui emplissait chaque fibre de mon corps. La puissance alimentant mon corps, la Haine me faisant oublier tout le reste, cette sensation de pouvoir et contrôle dangereuse et tellement attirante...
Puis soudain la douleur revient sans que je comprenne, « Qu'est-ce qu...!! ». Autour de moi gisent les corps d'une vingtaine de Tauren qui nous accompagnaient et après avoir repris totalement mes esprits je réalisai que Ios avec l'aide de mes six dernier compagnons d'enfances me ceinturaient et m'immobilisaient, tous semblaient avoir du lutter contre un être d'une force incroyable ou alors pendant très longtemps car ils étaient tous à bout de souffle et transpiraient fortement. Je m'écriai soudain : « Que faîtes vous lâchez moi vous êtes fou!!?? ». Ils me regardent tous d'un air surpris et Ios fini par me répondre:
- « Tu réalise ce que tu as fait? »
- « Mais de quoi tu parles et puis pourquoi ils sont assommés ceux la? », dis-je en désignent du menton les Taurens à terre.
- « C'est toi qui à fait ça!! », me répondit-il violemment.
Je fus tellement surpris que je n'arrivais qu'à prononcer des bouts de mots sans sens ne comprenant pas pourquoi tout ça arrivait. Sous le choc et pris aux dépourvus j'éclatai en sanglots sans comprendre. Puis dans mon for intérieur j'entendis une voie, qui me murmura d'une voie mielleuse « Vengeance... ». Comprenant ce qui c'était passez je ne savais que dire et ils me ligotèrent, et c'est points et pieds liez que je me retrouvais dans une tente dressait au milieu du campement pendant que mes frères discutaient non loin...
Mylin - « Tu as vu ce qu'il a fait Ios! Tu ne peu pas le défendre! »
Ios - « Calme toi Mylin il l'a fait mais tu es en train de lui reprocher la mort de Soyal »
Mylin - « Non. Mais si il avait déjà agis comme ça c'est pour ce la que j'ai perdu Soyal! »
Chrismal - « Ios a raison il n'y ait pour rien, mais ce qu'il a fait la ça dépasse mon entendement... »
Xark - « C'est vrais Ios à nous cinq nous avons eu du mal à le maîtriser si tu n’avais pas hurlait « Zorender» en lui cognant la tête je ne sais pas ce qu'il se serait passé. »
Tarkel - « Oui Xark et Chrismal ont raison, de plus pourquoi quand tu l'as appelé Zorender il c'est arrêté net? »
Ios - « Bon je vais vous expliquer calmez vous et asseyez vous. »
Il leur expliqua que la relation qui nous liés était différente car j'avais compris très tôt que Ios avait manqué d'affection, alors que moi même j'avais grandi dans un cocon d'amour. Est que le lien qui nous unissait était si puissant que sa simple voie à l'appel de mon nom avait suffi à me sortir de ma folie. Il est évident, leur dit-il qu'il est entré dans une colère sourde devant le massacre de ma famille et du village tout entier. Le choc causé était tel qu'il m'a rendu momentanément aveugle de colère et de rage.
Ils débattirent pendant plusieurs heures et notamment sur le problème que je posais alors, étais-je trop dangereux et comment expliquer ça aux autres? Ils finirent par se mettre d'accord sur le fait que j'étais leur frère d'arme et que hormis cet incident j'avais autant donné qu'eux et je ne méritais pas d'être abandonner. Ils décidèrent de dire aux autres que sous l'horreur du massacre j'avais momentanément perdu la raison et agressé les personnes m'entourant par peur et rage. Ce qui était en partie vrai, j'avais dû les agresser car dans ma rage je ne faisais plus la distinction entre mes alliés et mes ennemis. Ios vint ensuite me voire et me demanda ce qui s'était passez je le lui décris fidèlement ce qui c'était passé, c'était vrai les images me revenaient mais je n'étais pas moi même. Le soir Ios convia tout le monde autour de notre tente et je fis mais plus plate excuses à tout le monde surtout à ceux que j'avais agressé. Ceux-ci beaux joueurs me répondirent en rigolant qu'il y avait eu plus de peur que de mal et qu’à l’ avenir il serait plus fort pour me résister.
Chapitre 4: En chasse pour la vengeance...
Le lendemain après une bonne nuit de sommeil chacun d'entre nous se prépara au départ qui semblait imminent. Quand Ios après avoir vérifié que tous le monde était prêts ordonna à notre groupe de se mettre ne marche. Pour mon plus grand bonheur les Taurens que j'avais assommés la veille semblaient vouloir me suivre en restant juste derrière moi. Curieux qu'il ne fui pas je ralenti le pas pour me faire rattraper par celui qui était le plus proche et j'engageai la conversation. Sans rancune il semblait en faites que tous ces Taurens m'avait pris en affection et semblaient vouloir me suivre Celui avec qui j'avais engagé la conversation me dit avec les yeux remplis de fierté qu'ils voulaient tous me suivre ou que j'aille, pour eux j'avais accompli un exploit en les terrassant et ils souhaitaient demeurer à mes cotés convaincu que grâce à moi ils deviendraient plus fort et pourraient se venger de nos ennemie.
Les remerciant de leur confiance et de leur sincérité je repris un rythme soutenu pour rattraper Ios qui marchait en tête. En passant prés de mes frères d'armes ceux-ci me tapotèrent l'épaule en signe de confiance et de compréhension. Seul Mylin semblait m'en vouloir mais s'excusa aussitôt quand je lui demandai si tout allez bien. Arrivait aux cotés de Ios celui-ci me fit un grand sourire et me dit avec les yeux pétillants: « C'est un beau jour pour se mettre en chasse n'est-ce pas mon ami!!?? ». Je lui répondis dans un sourire timide qu'en effet ça l'était. Puis je le remerciai de m'avoir défendu et d'avoir révélé notre secret aux autres car je n'aurais jamais eu le courage de le faire. Ios dans un grand éclat de rire me gratifia d'une bourrade amicale et me confia que malgré tous même lui avait tremblait devant ma rage de l'autre jour. Il me dit que si j'arrivais à contrôler cette force je pourrais vaincre nos ennemis aisément.
Revigoré par ses paroles j'entrepris de sonder le fond de mon esprit à la recherche de ce qui m'avais tellement changé, mais sans succès il semblait alors que cette Rage ne me venait que lorsque j'en avais besoin, pour mieux la définir je lui donné un nom: Berseker. Ce nom que je lui ais donné est une référence à un loup sauvage qui vivait dans les montagnes proche de notre village. L'histoire de ce loup nous fut transmise pas le Chaman, le père d'Ios, ce grand loup était un adversaire n'ayant nul pareil sur un champ de bataille. Je savais pertinemment que le Chaman quand il nous racontait cette histoire exagérer les faits réels mais je ne pouvais me défaire de cette image d'un loup surpuissant qui avait massacré ces ennemi Taurens mais aussi tout son clan dans sa furie destructrice. Un loup solitaire et sanguinaire, au pelage noir et long, aux jambes galbées et aux muscles effilés et puissant, faisant deux fois la taille normal des loups de son espèce, l'image que je m'étais faite de lui plus jeune était une image noir mais auréolée d'une certaine grandeur. Ce loup était fou, ivre de sang mais sa colère provenait de sa solitude, étant différent sa carrure ne lui permettant pas de chasser avec ses frères, peu discrets et faisant peur à ceux de son espèces, chassé par les Taurens qui voyait en lui un danger imminent pour les villages alentours, il a vécu dans la peur étant traqué et rejeté par les siens. Je me suis identifié à lui chaque nuit je rêvais qu'il venait me chercher pour que je l'accompagne dans la montagne et vive avec lui...
Ce nom que je j'avais donné à ma haine, je l'ais fait aussi pour toujours me rappeler du double tranchant de cette puissance, car tout comme le loup elle rend son possesseur puissants mais dans sa furie sanguinaire ne peut plus différencier ces amis de ses ennemis. Berseker c'est ainsi que le Chaman qualifia sa puissance, la rage et la haine le poussant hors des limites mais aussi hors du jugement, un être capable de grande chose comme de terrible chose. La rage du Berseker nous disait-il souvent est aussi connu comme la « Folie du sang ».
Chapitre 5: Terreur dans les rangs ennemis...
Nous avons marchés pendant toute la journée et Ios poussant le rythme nous fit continuer jusqu'au début de la nuit grâce à la pleine lune. Tard dans la nuit nous firent enfin halte et exténué nous nous effondrâmes tous à même le sol et sans plus d'attente un silence envahit tout le groupe qui dormait déjà, seul Ios semblait trop préoccupé pour dormir et je le rejoins. Il me confirma ce que je croyais, la horde de monstres que nous poursuivions n'était plus très loin à présent, ralenti par les éléments et les résistances Taurens nous les rattrapions chaque jour un peu plus. Je le sentais avide de combat et il trépignait sur place, je savais pertinemment qu'il aurait souhaité que nous ne faisions même pas halte mais je le rassurais en lui rappelant que si nous étions fatigués pour la bataille même en surnombre nous perdrions. D'autant que nous étions en large infériorité numérique.
Au fil des jours un grand nombre de Taurens nous avaient rejoints mais notre groupe était plus composé de fermiers que de soldats. Comptant sur l'expérience de ses soldats pour donner force et courage aux autres Ios misait tous sur une attaque surprise pendant un affrontement entre ces monstres et les résistances armées de Taurens qu'ils rencontreraient. Prenant ainsi l'ennemi en tenaille nous avions une infime chance de vaincre avant que trop d'innocent ne soit massacrés. Il nous fallu plusieurs jours pénible de marches forcées pour apercevoir enfin la poussière que soulevaient les monstres à leur passage. Soudain revigoré par cette bonne nouvelle nous nous préparions au combat. Finalement Ios décida d'un plan d'attaque, les monstres à quelques lieues de nous semblaient bloqués par une force invisible. Persuadé que c'était là signe de survivants nous étions impatients d'entrer dans la bataille et de triompher de ces monstres. Pour me calmer comme chaque jour depuis notre bataille je fis mes exercices d'épée, exercices simples qui consisté à lever mon épée et à l'abattre rapidement. En soit simple mais les poids que je rajoutais quintuplé la masse de mon arme et dés lors elle me semblait légère comme une brindille. Ma série de deux-cents mouvements finis Ios nous passa nos ordres. A la tête d'un quart de notre groupe j'étais chargé de créer une forte diversion au niveau des lignes arrière pendant qu’Ios à la tête d'un groupe prendrait le flanc droit et Xark le flanc gauche.
Comprenant qu’Ios comptait sur moi et ma nouvelle force pour mener mon groupe et pourfendre les lignes ennemis je hochai la tête en sa direction pour lui faire signe que j'avais comprise. Ma tache était la plus risqué et la plus capitale. Si nous échouions les monstres s'enfuiraient et si nous n'étions pas assez rapides et agressif ils refouleraient facilement les assauts sur les flancs. Nous devions nous faire encercler par les monstres pour permettre à nos compagnons de les surprendre et de les massacrer. Rapidement je fixa les Taurens sous mes ordres et d'un levant mon épée haut dans le ciel je poussais un cri empli de haine et de désir de vengeance très rapidement confondu dans celui de tout le groupe qui hurlait avec moi. Gorgé de haine et de force nous nous mirent en marche. Pour ne pas nous épuiser trop tôt et pour permettre aux groupe d'Ios et de Xark de se mettre ne position nous marchions lentement sans bruit. Certain que Ios était en position ainsi que Xark je chargeai sans regardais derrière moi si mes amis me suivaient et hurlais comme un forcené.
Constatent que j'étais sur déjà sur mes ennemi sans plus attendre j'en pourfendis deux et m'enfonça dans les lignes ennemis derrière moi déjà j'entendais les coups de mes compagnons nous devions avancer coûte que coûte dans les lignes ennemis pour causer le plus de désordre et les désorganiser. Tranchant, écrasant, bousculant, jurant nous avancions profondément dans les lignes sans ressentir trop de résistance ces créatures étaient lentes à réagir face à notre manœuvres et étaient prise totalement au dépourvu. Soudain bloqué ne pouvant plus avancer je devais faire face au monstres qui comprenaient enfin ce qui se passait et tentaient tant bien que mal de se réorganiser. Hurlant à mes frères de se regroupez derrière moi nous devions nous battre pour chaque pas franchi. Rapidement je devais grimper sur un mont de monstres que je venais de tuer toujours fou de rage et de haine mes yeux se troublèrent, persuadé que ma fin venais d'arriver, je laissais mon esprit épouser l'âme d'un être éthéré qui rempli mon corps de haine et de rage. Fou de douleur et de rancœur mes coups devinrent plus rapide plus meurtrier et chaque ennemi qui tombait devant moi décuplé ma rage. Me laissant aller à cette rage je me délectais de chaque vie que je prenais bientôt recouvert de sang de ces immondes créatures je n'arrivais même plus à différencier mon épée de ma main mon bouclier semblais avoir pris chair dans mon bras et l'extase que j'atteignis n'avait nul autre pareil.
Le sang chaud coulait sur mon corps et mon armure si j'avais étais blessé je ne m'en serais pas rendu compte tellement j'étais recouverts de sang et de poussières et la haine qui m'emplissait ne laisser pas de place pour autre chose. Le combat sembla durer depuis une éternité et les ennemis intarissable quand je fis face à un Tauren, celui ci semblait aussi surpris que moi de me voir et je failli le décapiter par automatisme. Arrêtant mon geste au dernier moment je compris que nous avions atteint la résistance. Mais c'était en fait une véritable armé qui suivait ce Tauren, je vis le plus beau spectacle qui soit, des Taurens chevauchant de puissants Kodos de guerre écrasant tout sur leur passage et semant une belle panique. Les suivant de prêt des chevaucheurs de loup Orcs qui massacraient sans pitié et avec une terrible efficacité les monstres chanceux qui avaient esquivés les Kodos. Et pour finir des Taurens en armures splendides qui massacraient ou achevaient les monstres laissé par les deux premières lignes d'attaque. Soudain très las, terrassé par le combat je m'écroulai rattrapé par une Taurenne dont le sourire berça mon repos.